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Politophobie avérée
Politophobie avérée
  • Blog dénonçant avec le plus d'humour possible dont l'auteur se croit capable, l'incompétence, et le grand amateurisme de la classe politique au pouvoir dans le petit Hexagone. Lesixdesix est apolitique et socialophobique.
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19 mars 2015

Oligarchie

Sous titre :L'escobar du 55
L'escobar du 55 Faubourg-Saint-Honoré était un surfeur trop prévisible. Il n'en finissait plus d'utiliser tous les subterfuges à sa disposition, ou ceux juste à propos, incidemment survenus pour arriver à ses fins et ainsi, dissimuler sa vérace incompétence, et un manque inimaginable d'autorité. Le mois "thebētu" (Tevet), de l'année civile 5775 du calendrier hébraïque avait notamment fourni l'occasion à ce turlupin artificieux d'allocutionner constamment en usant d'arguments de vrai casuiste pour justifier son manque flagrant de résultats probants en matière de gouvernance. La masse plébéienne avait eu droit dès le début du mois Tevet, et après l'abominable tuerie au siège d'une feuille de chou, et bien piètre hebdomadaire satirique à la philippique de l'escobar envers le terrifiant djihadisme délictueux. Ventre mou, sur son trône branlant, il avait profité de l’événement pour mort de peur, exhorter tout le peuple des Francs au «Front républicain» de la monarchie socialistique, et en même temps, condescendre à subir une nouvelle fois une petite gâterie de sa cabotine, aux attitudes prétentieuses, et théâtrales récentes. L'expression "Front Républicain" n'était, à ce propos pas de lui mais elle fut employée en 5716, lors d'une campagne électorale expliquant une chaude coalition de gauche conduite par le Sphinx Rose (SFIO, Parti radical-socialiste, et UDSR). Pour le plouc, locataire du 55, c'était pain bénit...! On était aussi (Ne jamais l'oublier), sous le triste régime d'une oligarchie ploutocratique... Les plus avantagés, idéologiquement marxistes étaient au pouvoir confortés, et raffermis par une influente dynastie de la fonction publique occupée par une ensemble d'agents oisifs, et musards qui occupaient des emplois permanents dans l’État fuchsia monarchiquo-républicain de l'Hexagone.
L'oligarchie de surcroît ploutocratique, a pour particularité de sélectionner les rares décideurs sur le seul critère de leur utopisme, et de leur incompétence crasse. Aujourd'hui, on utilise ce terme d'oligarchie pour dénoncer les dérives des démocraties illusoires où de furieux groupes de pression
(Europe écologie les verts, Front de Gauche ou NPA - Extrême Gauche), influent sur le texte des lois. Le gouvernement pour durer tend vers une formule particulière de «nomenklatura d'élites bien-pensantes, et donneuses-de-leçons», et aucun gouvernement de l'histoire n'a échappé à ce processus... Au fur et à mesure du développement sournois de ce genre d'aristocratie, le gouvernement a de plus en plus tendance à n'agir exclusivement que dans l'intérêt de la classe des "camarades dignes de la confiance du Parti de la Rose rouge", conséquemment de charlots susceptibles de se voir confier des responsabilités, et des avantages qui les accompagnent. Peu importe d'ailleurs, leurs qualités intellectuelles ou leurs vraies connaissances extrinsèques.
La démocratie de la Hollandie subrepticement, avait préludé un régime très équivoque oscillant entre la monarchie, et la tyrannie. Dans cette forme de gouvernement, un groupe de fantaisistes, de clowns roses grotesques ou de
"queues-rouges", désignés aussi, par le terme russophile de "apparatchik" est apparu pour faire carrière dans le parti de la rose, y prendre des responsabilités, obtenir des investitures, de bien avantageux mandats électoraux rentables, et parfois aussi, de très lucratives manigances affairistes.
Ce système politico-administratif ou, par extension
populo-socialiste permet à un membre du parti ou tout bouffon bureaucrate, de profiter de son rang, de sa situation au sein d'un groupe politique gauchiste pour renforcer sa légitimité, son ascendant, et son prestige, voire pour s'enrichir, et faire jouissive carrière, etc.

Francois_gerard_georges

Oligarchie, le terme est plus particulièrement utilisé pour qualifier la pratique collégiale, et discrète de la vaudevillesque secte socialo-marxiste au pouvoir en Hollandie. La «caste» dont est issue la pratique est à comprendre ici, comme une classe sociale dominante, et sectaire composée d'énergumènes possédant de nombreuses incompétences communes. L'emploi de ce terme est utilisé dans ce cas, pour qualifier le règne du roi trivelin de Hollandie "Troisième François", se rapprochant à la fois de Scapin ou Brighella, et qui avait été élu Souverain-Président de la République populaire monarchique. Il surjouait très mal, une stratégie relativement complexe avec différents cercles plus ou moins informels. Cette hégémonie se révélait totalement instable, et glissait sur une pente irréversible assez dangereuse. Ce régime politique de couleur ambiguë (bâtard du rouge triomphant), dans lequel la plupart des pouvoirs en place, se trouvait entre les mains d'un petit nombre de créatures assez bizarres appartenant à quelques familles de gauche non solidaires entre-elles, et qui ne semblait plus savoir où il habitait, ni à quel saint il devait se vouer. La source de ce gouvernement éphémère, la sournoiserie, la pratique d'une escobarderie politique majeure, avait évolué vers un régime monarchique totalement gauchiste, et dictatoriale. Alors que a contrario, ce pouvoir se flattait d'être opposé à la tyrannie de la droite extrême dite "non républicaine", d'où l'appel au «Front Républicain»... Le valet astucieux... Oh pardon ! Non, désolé pour ce lapsus calami machinal ! Le monarque intrigant, peu spirituel et très rusé, appelait au rassemblement républicain pour continuer de «surfer» sur la vague terroriste qui avait sévi récemment pour bouleverser l'Hexagone affaibli. De plus, notre Mezzetin local (Arlequin de Nolant de Fatouville), paniqué par le très excellent 30% des électeurs du FN, estimait que ces derniers en aucun cas, ne pouvaient se considérer comme de véritables républicains, de respectables électeurs, dignes, probes sur eux, irréprochables, voire des résidents natifs, originaires de souche de nos anciennes gaules celtiques. Non impossible...! NON et NON...! NON ! D'abord, et c'était très important : ces Faux Républicains n'étaient ni vraiment laïques ni de confession musulmane...!
Quelle ambiguïté quand le royal coquin tentait de mobiliser l'imaginaire des «valeurs de la République» ! En combinant lettres, et illustration onirique comme une iconophore FR (Front Républicain), qui serait porteuse d'images morales, là où en réalité, les positions adoptées sont ajustées aux intérêts politiques de toute la gauche. Mais là aussi où, le Clown Roi, le monarque acrobate, peut rassembler l'inconscient populaire sur le thème du danger fasciste avec le référent «FN», d'ordre présumé immoral à l'excès, donc considéré par les gauchistes de l'extrême gauche comme un parti d'opposition au régime républicain de la monarchie socialistique gauchiste. Cette surprenante démarche chafouine attestait des complexes d'une ancienne société guerrière, fusion des héritages gallo-romains, germaniques, et du christianisme par rapport à une présumée vigilance insuffisante face à la montée de la droite extrémiste. Néanmoins, il fallait honnêtement préciser que le FN en question, et non pas ce fameux FR, s'était valorisé d'antan, comme étant le principale parti dans le camp majoritaire du «NON» lors d'un référendum de 5765 du calendrier hébreu, sur le traité établissant une constitution pour l'Europe...!
Ce qui avait donné conséquemment au FN, «un surcroît de légitimité démocratique»...
De très nombreux commentateurs Francs,
héritiers de la dynastie Carlovingienne rappellent aujourd'hui :
- "
Nous avons ignoré toutes sortes de questions qui taraudaient les Gaulois de souche, entre autre sur l’immigration, l’identité nationale, le «mariage pour tous», l’Islam, etc... C’était une grave erreur ! "
Soit le FN est considéré comme un parti fasciste et antidémocratique, et il faut l’interdire dès maintenant, soit il faut accepter de débattre avec lui. Dans le même temps, face à la mondialisation et la crise, la toute petite nation hexagonale a adopté une politique qui conforte ceux déjà en place, en rejetant la Gaule des plus faibles, et des précaires. Ces laissés-pour-comptes ont alors le sentiment que l’État ne s’occupe plus d’eux. Le Front national de la République populaire monarchique de Hollandie se trouve par conséquent, avoir l’entière exclusivité sur un certain nombre de sujets qui concernent cette grande partie de nos très anciennes Gaules celtiques, conquise par Jules César, et par
lui seul !...
"Caius Iulius Caesar IV " à sa naissance, "Imperator Iulius Caesar Divus " après sa mort !
Et en aucun cas, par on ne sait quel érudit wahhabite puritain très rigoriste aux convictions issues d'un islam sunnite hanbalite, voire un imam abruti, issu d'Arabie saoudite ou d'un État islamique intégriste, et puriste moyenâgeux, voire terroriste.
À présent, pour les élections départementales prochaines, dont plus personne ne savait encore vraiment, où ces dernières allaient aboutir ni où ces élections allaient entraîner l'électeur du lumpenprolétariat
(terme marxiste)... Ce sera comme à la roulette russe : soit, le citoyen lambda sans conscience de classe, et sans ressource convergera vers une déconfiture irrémédiable de sa gauche si sectaire et tant encensée, soit il se dirigera en chantant la carmagnole vers un sacré risque d'inconstitutionnalité.

Ce qui demeure par contre, diablement curieux, et vraiment paradoxal, c'est le fait de constater que chez tous les éminents matassins, commentateurs, et prestigieux spécialistes de l'information politique, aucun ne s'arroge le droit d'analyser dans les médias, les mouvements d'extrême gauche, et d'en donner une définition précise. Seraient-ils donc trop surpayés pour fermer ainsi, leurs clapets ou le capuchon de leurs stylos ? Seraient-ils malhonnêtes, trop surpayés ou si fallacieux qu'ils prétextent le caractère éphémère de ces communautés extrémistes pour ne rien expliquer ?
À propos, beaucoup de ces mouvements afin d'éviter tout amalgame avec l’extrémisme justement ne se revendiqueraient jamais comme étant de cette frange de l'ultra-gauche. Ce sont en fait, de tristes confréries bien trop proches des socialo-marxistes qui rejettent en bloc, la vraie démocratie libérale, et militent très sauvagement pour l'abolition du capitalisme. Les doctrines de ces mouvements situationnistes sont souvent issues du trotskisme, du marxisme ou du communisme : maoïsme, castrisme ou anarchisme. Un fait très intéressant à noter dans les Annales royales hollandistes, datant du huitième siècle dans le sixième millénaire du calendrier juif :
La milice antifasciste du nain Catalan, et néanmoins Grand Chambellan, et tout petit chef du gouvernement sous les ors de la cinquième République monarchique de Hollandie, aurait donné pour unique consigne à ses troupes :
"laisser «courir les choses», jusqu'au débordement final". Suivant ces ordres précis, donnés par le nabot Barcelonais, les «uniformes» devaient se tenir coi, regarder, laisser commettre, et conserver l'immobilité des contemplatifs convertis à Dieu Karl Heinrich de Trêves dans un premier temps, et dans le second applaudir (battere le mani), très silencieusement, aux joyeux débordements. Condate Riedonum en Ille-et-Vilaine avait donc pâti avec courage, et résignation à de multiples cassages de vitrines, de mobilier urbain, incendies de voitures, attaques de commerces, assaut d'un commissariat, etc, etc... Grâce à Dieu Karl, les «uniformes» de la protection publique ont tout de même, ou malgré-tout, et des ordres bien nets, très précis (peut être d'ailleurs trop mal compris), procédé à deux doubles arrestations...
Mais fort sagement, et sempiternellement grâce à Dieu Karl, l'antédiluvienne Garde des Sots avait très vite, fait libérer ces bien pauvres «épavistes» ou ces
«brocanteurs» indigents qui avaient de manière bien accidentelle, "dégradé"
les rues, et les magasins de la ville, à l'insu de leur plein gré.

Souvent certains rois encore assis sur un trône quelconque dans un banal ou irréaliste État européen, au cours de ces deux derniers siècles,
ont ou avaient, fait preuve de surprenante naïveté ou d'amblyopie assez sévère...! On en veut pour exemple, celui du roi Albert, Charles, Léopold, Axel, Marie, Gustave, "Balduin" (Baudouin), d'une branche cadette de la maison de Saxe-Cobourg, et Gotha, issue de la branche Ernestine de la maison de Wettin. Croyant vraiment bien faire, ce roi confia à l'époque et sans conditions, par bail emphytéotique de nonante-neuf ans, les clés du pavillon oriental du parc du Cinquantenaire de "Bruocsella" (ou château des marais), à l'Arabie saoudite. Celle-ci installa à grand frais, le Centre islamique, et culturel de Belgique (CICB) qui devint ainsi, le siège européen de la Ligue islamique mondiale, une ONG panislamique, et prosélyte contrôlée par les Saoudiens. A l'époque, la monarchie constitutionnelle parlementaire fédérale voulait faciliter les juteux contrats pétroliers, et faire honneur à un pays dont le roi Fayçal, avait été généreux envers les victimes de l'incendie de l'Innovation du 12 lyar 5727 (calendrier juif).
Avec le recul historique, il apparaît que le
CICB a joué un rôle-clé dans la diffusion du salafisme dans ce pays. L'Arabie saoudite revendique le droit de convertir, et de répandre partout dans le monde sa vision de l'islam, qu'elle considère comme la seule authentique. Rien d'illégal a priori. Sauf que sa doctrine, le wahhabisme, est jugée excessive, voire sectaire, par de très nombreux musulmans. Lire à ce propos un ouvrage récent intitulé : "Les Égarés". Puis, comme tout cela semblait ne pas suffire, une large nuée de petites organisations semi-officielles sont apparues, se référant à des prédicateurs de la dissidence wahhabite, avec des dérives sectaires comme celles d'un certain Abou Chayma, condamné pour torture dans le procès pour exorcisme au "château des marais" (Bruocsella), et qui d'ailleurs à présent ayant purgé sa peine, continue en toute quiétude, à donner des "cours de religion". Le dernier né de cet assemblage de matière sombre (dark matter), est le Collectif Réflexions Musulmanes (CRM), fondé à la fin de l'an 5773, en vue de «propager un discours islamique authentique». Sous l'égide du rigoriste CICB saoudien, une belle alliance s'est nouée entre des conférenciers salafistes très populaires (Mustafa Kastit, Rachid Haddach) et des Frères musulmans plus "politiques" qui n'affichent d'ailleurs pas les caractéristiques vestimentaires des salafistes. Ces deux mouvances, que l'on pourrait assimiler à un «trou noir super intégriste» de cette bien étrange galaxie, ont organisé le forum de la seconde Foire musulmane de "Bruocsella" (château des marais), le septième mois de l'année ecclésiastique, ou le premier de l'année civile du calendrier hébreu (Tishri)
. Les livres en vente dans cette enceinte reflétaient presque toujours hélas, les mêmes tendances littéralistes de l'islam rigoriste.

Le second exemple à ne surtout pas ignorer, c'est celui du roi François (dit le Troisième), Gérard Georges, d'une branche mère de la maison de Saint-Simon, Charles Fourier, et Étienne Cabet, issue de la branche de Léon André Blum de la maison SFIO de l'OURS, (Office universitaire de recherche socialiste). Le monarque soumis à des arrières pensées très électoralistes, et financières avait réitéré que l'islam était parfaitement «compatible avec la République monarchique, et populaire de l'Hexagone». Il s'était même permis d'ajouter, en insistant lourdement, sur la nécessité de lutter contre «les discriminations, les inégalités et le racisme», et d'être «intraitables à l'égard des paroles et des actes anti-musulmans». Vive notre roi ! qui déplore que la communauté internationale ne soit pas intervenue militairement en Bilad el-Cham dans le bassin Levantin comme Lui, le Roi des Cons le souhaitait ! Quelle leçon socialistique ce souverain nous donne ! Fichtre...! qui l'eut cru...?
À quelques jours des municipales, le geste est beau ! Certes, il tombe à pic, mais il est si beau, si humain, si laïque, si socialiste ! Tellement excitant, si formidable, «Quand on regarde le nombre de pauvres gens déplacés, avec le lourd fardeau que cela peut représenter pour le Liban, la Jordanie, la Turquie...»...! Enfin bref, dans notre noble, et belle nation hexagonale, «le grand Parti de la Rose rouge n'oubliera jamais le prix du sang versé... Il gardera en mémoire les noms de ceux qui se sont battus pour la liberté, sans distinction d'origine, ni de religion...» Vive les tirailleurs, goumiers, spahis ou zouaves ! Gratitude à eux...! Que l'on ne tarde surtout pas à verser à tous leurs descendants de très fortes indemnités !
Le bon roi de Hollandie, ce grand
«Seigneur des Sots» si empreint d'altruisme s'est rendu ensuite au gîte du roi (Villatrapas - Gistum Regis), aux côtés du bédouin marocain Debouzze, ami et docte enseignant en histoire des religions pour envoyer un signal positif aux musulmans de l'Hexagone. En aparté, il faut aussi admettre, qu'il gère aussi a posteriori, l'abandon provisoire du droit de vote des étrangers aux élections locales. Car, en 5772, plus de 85% des électeurs de confession musulmane avaient voté pour asseoir le roi sur son trône déjà bien branlant... Il avait donc une dette, et même une sacrée dette pour un laïque tel que lui...! Le simien de l'ordre des primates, du monde maghrébin allait certainement l'aider par sa connaissance infini du terrain émeutier...!

Maintenant, la question sur le fond se pose : Pourquoi rendre hommage aux soldats musulmans plutôt qu'aux soldats des "troupes coloniales" ainsi qu'ils ont toujours été dénommés... ? Au temps de l'empire colonial, la distinction qui était alors, faite entre soldats de l'Hexagone et soldats coloniaux n'avait aucune connotation religieuse. Serait-ce alors une stratégie de «Terra Nova», visant à agréger certains électorats spécifiés par un critère d'identification des individus y appartenant (femmes, jeunes, musulmans, juifs, minorités ethniques, quartiers défavorisés, riches Bobos, diplômés du supérieur…), afin de créer une toute «nouvelle coalition» pour la gauche ? Terra Nova se définit comme un laboratoire «Bobo» d'idées. Mais trop proche de la gauche, il n'est plus du tout crédible, bien trop subjectif, pas assez indépendant. Un «think tanks» très partial, et sans intérêts quand son souhait international principal, consiste à vouloir refonder la social-démocratie, et une matrice idéologique de gauche progressiste. L'Hexagone n'a plus de sous mais beaucoup d'idées...!

Stamp

Parodie du chant révolutionnaire la carmagnole, créé en 1792, lors de la chute de la monarchie :

Grand Chambellan avait promis (bis) - De faire voter tout le pays (bis)
Mais son coup va manqué - Grâce au Front Révolté (FR)
Dansons la carmagnole -Vive le son, vive le son
Dansons la carmagnole - Des p'tit gars du Front.

Grand Chambellan avait promis - Fidélité à son parti
Mais il nous a trompé - Il doit démissionner !
Amis restons toujours unis - Ne craignons pas nos ennemis
S'ils viennent nous emmerder - Contre eux nous irons voter.

Marisol les met dans la rue - Tout'la Santé est sur le cul
Mais son coup a manqué - Elle a le nez cassé

Ministre, elle se voyait vainqueur - Maintenant, elle va avoir peur
Va, Roi, Clown balourd - Sors avec ta cour !

Les révoltés ont promis - De vous virer de Hollandie
Ça devraient plus tarder – Puis, ils iront danser !

Marisol, bientôt ton tour - Avant de faire demi-tour
Tu auras mal au cœur - Vas donc voir un docteur !

Quand le roi vit goudronner – Et un tronc entier, emplumé
Il réfléchit que sous peu - Il serait pas bien mieux

Quidams de souche tel qu'ça s'dit - Sont de vrais natifs du pays
Chrétiens, ils resteront - Malgré la Révolution.

L'islamiste n'a aucun ami - Chaque Franc est son ennemi
Dehors, tous le bouteront - Au son grave du canon !


Les partis de droite ont promis - De biffer la Hollandie.
Le roi, de l’emplumer - Le huer, et le bouter.


Nous sommes de droite, Nous – Tout contre ce monarque mou
Vivent les gens d'chez-nous - Les vieux bretons grippe-sous !


Oui nous nous souviendrons toujours - Des Bonnets rouges alentours - À leur santé buvons - Hourra pour ces garçons !

(Parodie du chant révolutionnaire la carmagnole, créé en 1792, lors de la chute de la monarchie).


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